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Ressources Formation Stéphane Edouard : La peur : La supporter, l’affronter, la vaincre

Snoow

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21 Janvier 2022

L’anecdote du mois​

Contrairement à ce que propage la fémininisation depuis 30 ans avec ses « c’est beau un homme qui pleure », je vous déconseille sérieusement de prendre au mot cette idée reçue, au risque de passer pour une belle fiotte. Je le sais, je l’ai fait.

Bon, j’avais mes raisons (j’étais très, très déçu de quelque chose ou plutôt de quelqu’un) mais n’empêche, j’ai été très con. Je m’en suis vertement voulu, mais de tout échec il faut tirer leçon, et c’est ce que j’ai fait.

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FLASHBACK : LA PEUR EST LA NORME DE L’ENFANT​

Quand on était enfant – même l’enfant de deux parents normaux qui vous nourrissent, vous chérissent, vous protègent et vous aiment, on avait souvent peur.

Peur de l’extérieur, principalement, c’est-à-dire des univers excentrés au-delà des limites de leur champ de surveillance. La régence du monde par d’autres adultes, dont nous n’étions pas l’unique source de préoccupation, s’imposait à nous par une implacable succession de comparaisons en notre défaveur.

Ces «autres» adultes qui remplissaient le monde entier étaient plus grands, plus imposants, leurs voix plus lourdes et menaçantes, leurs connaissances plus exactes, leur pouvoir de punition plus prompt. Nous ne les défiions qu’à de rares occasions, mis hors de nous par ce qui nous semblait alors, dans nos yeux d’enfants, une insoutenable injustice.

Et cela se terminait généralement avec quelques hurlements bien sentis, une gifle ou deux, et une privation de liberté (ie le fameux «va dans ta chambre») pouvant aller, dans les cas les plus extrêmes d’incivilité, jusqu’à 24h.

Bref, la peur est, comme la solitude, un sentiment avec lequel l’enfant prend très jeune l’habitude de cohabiter, contraint et forcé.

En grandissant, elle disparaît…​


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genial
 

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14 Janvier 2021

L’anecdote du mois​

Contrairement à ce que propage la fémininisation depuis 30 ans avec ses « c’est beau un homme qui pleure », je vous déconseille sérieusement de prendre au mot cette idée reçue, au risque de passer pour une belle fiotte. Je le sais, je l’ai fait.

Bon, j’avais mes raisons (j’étais très, très déçu de quelque chose ou plutôt de quelqu’un) mais n’empêche, j’ai été très con. Je m’en suis vertement voulu, mais de tout échec il faut tirer leçon, et c’est ce que j’ai fait.

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FLASHBACK : LA PEUR EST LA NORME DE L’ENFANT​

Quand on était enfant – même l’enfant de deux parents normaux qui vous nourrissent, vous chérissent, vous protègent et vous aiment, on avait souvent peur.

Peur de l’extérieur, principalement, c’est-à-dire des univers excentrés au-delà des limites de leur champ de surveillance. La régence du monde par d’autres adultes, dont nous n’étions pas l’unique source de préoccupation, s’imposait à nous par une implacable succession de comparaisons en notre défaveur.

Ces «autres» adultes qui remplissaient le monde entier étaient plus grands, plus imposants, leurs voix plus lourdes et menaçantes, leurs connaissances plus exactes, leur pouvoir de punition plus prompt. Nous ne les défiions qu’à de rares occasions, mis hors de nous par ce qui nous semblait alors, dans nos yeux d’enfants, une insoutenable injustice.

Et cela se terminait généralement avec quelques hurlements bien sentis, une gifle ou deux, et une privation de liberté (ie le fameux «va dans ta chambre») pouvant aller, dans les cas les plus extrêmes d’incivilité, jusqu’à 24h.

Bref, la peur est, comme la solitude, un sentiment avec lequel l’enfant prend très jeune l’habitude de cohabiter, contraint et forcé.

En grandissant, elle disparaît…​


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merci !
 

azedfcdsdfg

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24 Février 2022

L’anecdote du mois​

Contrairement à ce que propage la fémininisation depuis 30 ans avec ses « c’est beau un homme qui pleure », je vous déconseille sérieusement de prendre au mot cette idée reçue, au risque de passer pour une belle fiotte. Je le sais, je l’ai fait.

Bon, j’avais mes raisons (j’étais très, très déçu de quelque chose ou plutôt de quelqu’un) mais n’empêche, j’ai été très con. Je m’en suis vertement voulu, mais de tout échec il faut tirer leçon, et c’est ce que j’ai fait.

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Quand on était enfant – même l’enfant de deux parents normaux qui vous nourrissent, vous chérissent, vous protègent et vous aiment, on avait souvent peur.

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Ces «autres» adultes qui remplissaient le monde entier étaient plus grands, plus imposants, leurs voix plus lourdes et menaçantes, leurs connaissances plus exactes, leur pouvoir de punition plus prompt. Nous ne les défiions qu’à de rares occasions, mis hors de nous par ce qui nous semblait alors, dans nos yeux d’enfants, une insoutenable injustice.

Et cela se terminait généralement avec quelques hurlements bien sentis, une gifle ou deux, et une privation de liberté (ie le fameux «va dans ta chambre») pouvant aller, dans les cas les plus extrêmes d’incivilité, jusqu’à 24h.

Bref, la peur est, comme la solitude, un sentiment avec lequel l’enfant prend très jeune l’habitude de cohabiter, contraint et forcé.

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Elgaucho

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Un partage de plus qui fait bien plaisir ! Un grand merci l'ami !
 

cizia-zyke04

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19 Mars 2022

L’anecdote du mois​

Contrairement à ce que propage la fémininisation depuis 30 ans avec ses « c’est beau un homme qui pleure », je vous déconseille sérieusement de prendre au mot cette idée reçue, au risque de passer pour une belle fiotte. Je le sais, je l’ai fait.

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Quand on était enfant – même l’enfant de deux parents normaux qui vous nourrissent, vous chérissent, vous protègent et vous aiment, on avait souvent peur.

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Contrairement à ce que propage la fémininisation depuis 30 ans avec ses « c’est beau un homme qui pleure », je vous déconseille sérieusement de prendre au mot cette idée reçue, au risque de passer pour une belle fiotte. Je le sais, je l’ai fait.

Bon, j’avais mes raisons (j’étais très, très déçu de quelque chose ou plutôt de quelqu’un) mais n’empêche, j’ai été très con. Je m’en suis vertement voulu, mais de tout échec il faut tirer leçon, et c’est ce que j’ai fait.

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Quand on était enfant – même l’enfant de deux parents normaux qui vous nourrissent, vous chérissent, vous protègent et vous aiment, on avait souvent peur.

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Ces «autres» adultes qui remplissaient le monde entier étaient plus grands, plus imposants, leurs voix plus lourdes et menaçantes, leurs connaissances plus exactes, leur pouvoir de punition plus prompt. Nous ne les défiions qu’à de rares occasions, mis hors de nous par ce qui nous semblait alors, dans nos yeux d’enfants, une insoutenable injustice.

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Excellent !
 

chiithan

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19 Mars 2022

L’anecdote du mois​

Contrairement à ce que propage la fémininisation depuis 30 ans avec ses « c’est beau un homme qui pleure », je vous déconseille sérieusement de prendre au mot cette idée reçue, au risque de passer pour une belle fiotte. Je le sais, je l’ai fait.

Bon, j’avais mes raisons (j’étais très, très déçu de quelque chose ou plutôt de quelqu’un) mais n’empêche, j’ai été très con. Je m’en suis vertement voulu, mais de tout échec il faut tirer leçon, et c’est ce que j’ai fait.

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hâte de voir le contenu
 

Heoth

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ah bah parfait, merci bien
 

karakku7

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2 Septembre 2020

L’anecdote du mois​

Contrairement à ce que propage la fémininisation depuis 30 ans avec ses « c’est beau un homme qui pleure », je vous déconseille sérieusement de prendre au mot cette idée reçue, au risque de passer pour une belle fiotte. Je le sais, je l’ai fait.

Bon, j’avais mes raisons (j’étais très, très déçu de quelque chose ou plutôt de quelqu’un) mais n’empêche, j’ai été très con. Je m’en suis vertement voulu, mais de tout échec il faut tirer leçon, et c’est ce que j’ai fait.

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Quand on était enfant – même l’enfant de deux parents normaux qui vous nourrissent, vous chérissent, vous protègent et vous aiment, on avait souvent peur.

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Ces «autres» adultes qui remplissaient le monde entier étaient plus grands, plus imposants, leurs voix plus lourdes et menaçantes, leurs connaissances plus exactes, leur pouvoir de punition plus prompt. Nous ne les défiions qu’à de rares occasions, mis hors de nous par ce qui nous semblait alors, dans nos yeux d’enfants, une insoutenable injustice.

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Merci beaucoup pour ça
 

poroj28267@macmill

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15 Avril 2022

L’anecdote du mois​

Contrairement à ce que propage la fémininisation depuis 30 ans avec ses « c’est beau un homme qui pleure », je vous déconseille sérieusement de prendre au mot cette idée reçue, au risque de passer pour une belle fiotte. Je le sais, je l’ai fait.

Bon, j’avais mes raisons (j’étais très, très déçu de quelque chose ou plutôt de quelqu’un) mais n’empêche, j’ai été très con. Je m’en suis vertement voulu, mais de tout échec il faut tirer leçon, et c’est ce que j’ai fait.

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Quand on était enfant – même l’enfant de deux parents normaux qui vous nourrissent, vous chérissent, vous protègent et vous aiment, on avait souvent peur.

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Ces «autres» adultes qui remplissaient le monde entier étaient plus grands, plus imposants, leurs voix plus lourdes et menaçantes, leurs connaissances plus exactes, leur pouvoir de punition plus prompt. Nous ne les défiions qu’à de rares occasions, mis hors de nous par ce qui nous semblait alors, dans nos yeux d’enfants, une insoutenable injustice.

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Super merci
 

brunobelmonte

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26 Avril 2022

L’anecdote du mois​

Contrairement à ce que propage la fémininisation depuis 30 ans avec ses « c’est beau un homme qui pleure », je vous déconseille sérieusement de prendre au mot cette idée reçue, au risque de passer pour une belle fiotte. Je le sais, je l’ai fait.

Bon, j’avais mes raisons (j’étais très, très déçu de quelque chose ou plutôt de quelqu’un) mais n’empêche, j’ai été très con. Je m’en suis vertement voulu, mais de tout échec il faut tirer leçon, et c’est ce que j’ai fait.

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Quand on était enfant – même l’enfant de deux parents normaux qui vous nourrissent, vous chérissent, vous protègent et vous aiment, on avait souvent peur.

Peur de l’extérieur, principalement, c’est-à-dire des univers excentrés au-delà des limites de leur champ de surveillance. La régence du monde par d’autres adultes, dont nous n’étions pas l’unique source de préoccupation, s’imposait à nous par une implacable succession de comparaisons en notre défaveur.

Ces «autres» adultes qui remplissaient le monde entier étaient plus grands, plus imposants, leurs voix plus lourdes et menaçantes, leurs connaissances plus exactes, leur pouvoir de punition plus prompt. Nous ne les défiions qu’à de rares occasions, mis hors de nous par ce qui nous semblait alors, dans nos yeux d’enfants, une insoutenable injustice.

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GraKizz

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9 Novembre 2021

L’anecdote du mois​

Contrairement à ce que propage la fémininisation depuis 30 ans avec ses « c’est beau un homme qui pleure », je vous déconseille sérieusement de prendre au mot cette idée reçue, au risque de passer pour une belle fiotte. Je le sais, je l’ai fait.

Bon, j’avais mes raisons (j’étais très, très déçu de quelque chose ou plutôt de quelqu’un) mais n’empêche, j’ai été très con. Je m’en suis vertement voulu, mais de tout échec il faut tirer leçon, et c’est ce que j’ai fait.

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Ces «autres» adultes qui remplissaient le monde entier étaient plus grands, plus imposants, leurs voix plus lourdes et menaçantes, leurs connaissances plus exactes, leur pouvoir de punition plus prompt. Nous ne les défiions qu’à de rares occasions, mis hors de nous par ce qui nous semblait alors, dans nos yeux d’enfants, une insoutenable injustice.

Et cela se terminait généralement avec quelques hurlements bien sentis, une gifle ou deux, et une privation de liberté (ie le fameux «va dans ta chambre») pouvant aller, dans les cas les plus extrêmes d’incivilité, jusqu’à 24h.

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toto42

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merci beaucoup t'es au top !!!!!
 

linalina

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1 Mai 2022

L’anecdote du mois​

Contrairement à ce que propage la fémininisation depuis 30 ans avec ses « c’est beau un homme qui pleure », je vous déconseille sérieusement de prendre au mot cette idée reçue, au risque de passer pour une belle fiotte. Je le sais, je l’ai fait.

Bon, j’avais mes raisons (j’étais très, très déçu de quelque chose ou plutôt de quelqu’un) mais n’empêche, j’ai été très con. Je m’en suis vertement voulu, mais de tout échec il faut tirer leçon, et c’est ce que j’ai fait.

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Quand on était enfant – même l’enfant de deux parents normaux qui vous nourrissent, vous chérissent, vous protègent et vous aiment, on avait souvent peur.

Peur de l’extérieur, principalement, c’est-à-dire des univers excentrés au-delà des limites de leur champ de surveillance. La régence du monde par d’autres adultes, dont nous n’étions pas l’unique source de préoccupation, s’imposait à nous par une implacable succession de comparaisons en notre défaveur.

Ces «autres» adultes qui remplissaient le monde entier étaient plus grands, plus imposants, leurs voix plus lourdes et menaçantes, leurs connaissances plus exactes, leur pouvoir de punition plus prompt. Nous ne les défiions qu’à de rares occasions, mis hors de nous par ce qui nous semblait alors, dans nos yeux d’enfants, une insoutenable injustice.

Et cela se terminait généralement avec quelques hurlements bien sentis, une gifle ou deux, et une privation de liberté (ie le fameux «va dans ta chambre») pouvant aller, dans les cas les plus extrêmes d’incivilité, jusqu’à 24h.

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max843900

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Merci pour ta généreuse contribution.
 

NicoCjd

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Super, merci beaucoup pour le partage
 

Kram94

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Merci mec tes un bon
 

Yaxx30

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6 Janvier 2022

L’anecdote du mois​

Contrairement à ce que propage la fémininisation depuis 30 ans avec ses « c’est beau un homme qui pleure », je vous déconseille sérieusement de prendre au mot cette idée reçue, au risque de passer pour une belle fiotte. Je le sais, je l’ai fait.

Bon, j’avais mes raisons (j’étais très, très déçu de quelque chose ou plutôt de quelqu’un) mais n’empêche, j’ai été très con. Je m’en suis vertement voulu, mais de tout échec il faut tirer leçon, et c’est ce que j’ai fait.

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Quand on était enfant – même l’enfant de deux parents normaux qui vous nourrissent, vous chérissent, vous protègent et vous aiment, on avait souvent peur.

Peur de l’extérieur, principalement, c’est-à-dire des univers excentrés au-delà des limites de leur champ de surveillance. La régence du monde par d’autres adultes, dont nous n’étions pas l’unique source de préoccupation, s’imposait à nous par une implacable succession de comparaisons en notre défaveur.

Ces «autres» adultes qui remplissaient le monde entier étaient plus grands, plus imposants, leurs voix plus lourdes et menaçantes, leurs connaissances plus exactes, leur pouvoir de punition plus prompt. Nous ne les défiions qu’à de rares occasions, mis hors de nous par ce qui nous semblait alors, dans nos yeux d’enfants, une insoutenable injustice.

Et cela se terminait généralement avec quelques hurlements bien sentis, une gifle ou deux, et une privation de liberté (ie le fameux «va dans ta chambre») pouvant aller, dans les cas les plus extrêmes d’incivilité, jusqu’à 24h.

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Gabbe

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Contrairement à ce que propage la fémininisation depuis 30 ans avec ses « c’est beau un homme qui pleure », je vous déconseille sérieusement de prendre au mot cette idée reçue, au risque de passer pour une belle fiotte. Je le sais, je l’ai fait.

Bon, j’avais mes raisons (j’étais très, très déçu de quelque chose ou plutôt de quelqu’un) mais n’empêche, j’ai été très con. Je m’en suis vertement voulu, mais de tout échec il faut tirer leçon, et c’est ce que j’ai fait.

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Quand on était enfant – même l’enfant de deux parents normaux qui vous nourrissent, vous chérissent, vous protègent et vous aiment, on avait souvent peur.

Peur de l’extérieur, principalement, c’est-à-dire des univers excentrés au-delà des limites de leur champ de surveillance. La régence du monde par d’autres adultes, dont nous n’étions pas l’unique source de préoccupation, s’imposait à nous par une implacable succession de comparaisons en notre défaveur.

Ces «autres» adultes qui remplissaient le monde entier étaient plus grands, plus imposants, leurs voix plus lourdes et menaçantes, leurs connaissances plus exactes, leur pouvoir de punition plus prompt. Nous ne les défiions qu’à de rares occasions, mis hors de nous par ce qui nous semblait alors, dans nos yeux d’enfants, une insoutenable injustice.

Et cela se terminait généralement avec quelques hurlements bien sentis, une gifle ou deux, et une privation de liberté (ie le fameux «va dans ta chambre») pouvant aller, dans les cas les plus extrêmes d’incivilité, jusqu’à 24h.

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Merci pour ce post
 

teuteuf94

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Contrairement à ce que propage la fémininisation depuis 30 ans avec ses « c’est beau un homme qui pleure », je vous déconseille sérieusement de prendre au mot cette idée reçue, au risque de passer pour une belle fiotte. Je le sais, je l’ai fait.

Bon, j’avais mes raisons (j’étais très, très déçu de quelque chose ou plutôt de quelqu’un) mais n’empêche, j’ai été très con. Je m’en suis vertement voulu, mais de tout échec il faut tirer leçon, et c’est ce que j’ai fait.

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Quand on était enfant – même l’enfant de deux parents normaux qui vous nourrissent, vous chérissent, vous protègent et vous aiment, on avait souvent peur.

Peur de l’extérieur, principalement, c’est-à-dire des univers excentrés au-delà des limites de leur champ de surveillance. La régence du monde par d’autres adultes, dont nous n’étions pas l’unique source de préoccupation, s’imposait à nous par une implacable succession de comparaisons en notre défaveur.

Ces «autres» adultes qui remplissaient le monde entier étaient plus grands, plus imposants, leurs voix plus lourdes et menaçantes, leurs connaissances plus exactes, leur pouvoir de punition plus prompt. Nous ne les défiions qu’à de rares occasions, mis hors de nous par ce qui nous semblait alors, dans nos yeux d’enfants, une insoutenable injustice.

Et cela se terminait généralement avec quelques hurlements bien sentis, une gifle ou deux, et une privation de liberté (ie le fameux «va dans ta chambre») pouvant aller, dans les cas les plus extrêmes d’incivilité, jusqu’à 24h.

Bref, la peur est, comme la solitude, un sentiment avec lequel l’enfant prend très jeune l’habitude de cohabiter, contraint et forcé.

En grandissant, elle disparaît…​


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